mercredi 19 novembre 2014

Education Prioritaire : propositions rectorales, Positions du Sgen Cfdt

Education prioritaire :

La mise en place de l’Education prioritaire se fait en deux temps, à l’image de la réforme des statuts des enseignants du Second degré.
Dans certaines zones les plus aidées (les REP+, ), c’est depuis la rentrée dernière que les collègues bénéficient d’une pondération qui de fait réduit leur service devant élèves de presque deux heures.
A la rentrée prochaine, les autres REP+  (9 au total en prévision)  seront mises en place et le réseau des REP (13 en prévision) sera réorganisé, alors que les indemnités augmenteront de 50% (en REP) à 100% (en REP+). Les anciennes appellations (ECLAIR, sensible et bien sûr ZEP) disparaîtront.
Dans l'académie de Martinique,  donc 9 REP+ et 13 REP. Avec un prévisionnel des emplacement donné lors d'une réunion rectorale. Deux collèges sortiraient du réseau et trois entreraient dans le réseau. Un développement du dispositif donc, contrairement à d’autres académies. 
Le SGEN-CFDT avait demandé depuis longtemps une refonte (concentration des moyens) et une simplification (retour sur l’empilement des dispositifs, critères clairs d’entrée et de sortie) du réseau de l’Education prioritaire. De même, il demandait des moyens pour que les équipes puissent travailler. Il est donc favorable à l’évolution actuelle.
 Cependant, des problèmes se font jour.
  Des tensions naissent autour du temps libéré par les heures pondérées. Certains syndicats (proximité des élections professionnelles oblige) font mine de croire que ce temps est une sorte de prime donnée aux collègues, pour la difficulté du travail, alors qu’il est prévu pour être utilisé pour travailler en équipe. L’administration entretient d’ailleurs le flou en donnant ces décharges en heures supplémentaires !
Inversement, certains chefs d’établissement ou des IEN (dans le premier degré) tienne  un décompte pointilleux des heures de concertation, poussant à la dérive vers un occupationnel stérile.
L’effort considérable mais nécessaire fait au profit des élèves les plus fragiles de notre société mérite pourtant autre chose que des postures électoralistes ou des pratiques caporalistes.





Quels changements dans notre Educ Nat ?

HUMEUR / reprise d'un point d'actualité de Normandie
La grande pauvreté progresse en France. Elle touche de plus en plus de familles et donc d’enfants. C’est un mouvement de fond, conséquence de l’incapacité des gouvernements des dernières décennies à lutter structurellement contre le chômage. Avec les conséquences que l’on sait : montée de l’extrême-droite, remise en cause du pacte social et donc de la démocratie.

Lutter contre la pauvreté, c’est lutter contre le chômage. C’est permettre à l’économie de créer des emplois. Le Pacte de responsabilité, qui va (enfin !) entrer en vigueur en janvier prochain est un élément essentiel de l’action gouvernementale dans ce domaine. Il est soutenu par la CFDT. Il faudra cependant au gouvernement plus de courage qu’actuellement pour obtenir du patronat les contreparties promises. Il est vrai que la faiblesse politique dans laquelle il est maintenu par les « frondeurs » ou autres éléphants qui pensent d’abord à leur carrière ne peut guère l’aider !

Ce n’est pas non plus la personnalité, ou plutôt l’image, de François Hollande qui aidera le gouvernement. Si la direction donnée est sans doute la bonne, les réformes mettent du temps à produire leurs effets. Et il faut maintenant compter avec une opinion publique qui pendant dix ans a été « droguée » par Nicolas Sarkozy à l’effet d’annonce, à l’agitation médiatique qui faisait figure de ligne politique. Certes il ne se passait pas grand-chose de constructif dans les faits, mais les commentateurs pouvaient commenter. Et là, ils s’ennuient, et l’image qu’ils commentent est paradoxalement celle de l’immobilisme.

Et pourtant, si l’on prend le domaine de l’Education nationale, les changements se construisent chaque jour un peu plus. Le Parlement est en train de voter presque 10 000 créations de postespour l’année prochaine ; qui cette fois-ci se verront sans doute plus facilement, car elles ne seront plus absorbées par les décharges données à la formation initiale des nouveaux enseignants. La nouvelle éducation prioritaire dispose de vrais moyens, et on peut espérer que le pacte républicain porté par l’Ecole, donner une chance à chacun, puisse être reconstruit. Les nouveaux rythmes sont entrés en application dans le primaire. Les contractuels ont obtenu ces dernières semaines une nette amélioration de leur statut. Le Socle commun, l’évaluation bienveillante, le nouveau statut des enseignants du Second degré, celui des CPE, la reconnaissance de la MLDS, la revalorisation des catégories C, la (re-)création d’une formation initiale des enseignants  … Beaucoup de « petites » choses, mais ces années resteront sans doute comme une période de grands changements dans l’histoire de notre Grande Maison.

Tout n’est cependant pas parfait. L’annonce par François Hollande d’une tablette pour tous les élèves de 5ème à la rentrée 2016 suscite beaucoup de questions. Certes, la tablette c’est ce qui se rapproche le plus des smartphones que presque tous les élèves utilisent, mais en dehors même du coût d’achat et de gestion, il y a des inquiétudes sur l’intérêt du support choisi : les tablettes sont un outil de consultation, pas de création ; avec en plus une interopérabilité faible et des contenus éducatifs plus limités et plus chers que sur les PC. Sans compter que les enseignants vont devoir se former à toute vitesse : en un an et demi ! Nous verrons demain si le rectorat a déjà prévu un large plan de formation continue sur ce sujet !
L’annonce d’un enseignement du codage informatique est sans doute plus constructive à long terme.

Enfin, l’actualité, ce sont aussi les 50 ans de la CFDT. Une CFDT qui progresse, en nombre d’adhérents, en voix dans les élections professionnelles diverses, en crédibilité face à une CGT qui s’est ringardisée. Une CFDT qui voit une partie de ses conceptions mises en application par le pouvoir actuel, et pas seulement dans l’Education. Une CFDT qui donc se retrouve dans une situation peu habituelle dans l’Histoire syndicale de la France contemporaine : une mise à l’épreuve de ses revendications que ses adhérents ont voulues crédibles, réalistes et efficaces. C’est à la fois courageux et insécurisant, car il est plus facile de pointer les problèmes que de construire. Il faudra cependant être capables collectivement assumer les inévitables recadrages après l’épreuve de la réalité.


REP et REP+ conséquence pour les mutations....

REP et REP+.
La création des REP et REP+ amène à un remplacement et à une simplification des bonifications APV (ZEP, zones sensibles …) pour le mouvement inter. Plutôt dans un sens moins favorable aux collègues (moins de points dans les REP, suppression de la bonification à 8 ans). En tous cas à terme car des mesures de transition sont prévues jusqu’en 2018.
Au national, le SGEN devra obtenir une amélioration de la note de service pour les années prochaines. Au niveau académique, il faudra faire attention à ce que le rectorat ne transpose pas défavorablement ces nouvelles dispositions dans la note de service de l’intra. Il s’agit de ne pas trahir les collègues.

LES DIPLÔMES DANS L'EN : réflexion sur le DNB en particulier

Il est frais mon poisson !

dessin désintox
« Les diplômes représentent un obstacle à la liberté de l’éducation. »
Ivan Illich

Une société privée de soutien scolaire, dont nous tairons le nom, a publié récemment un palmarès des collèges privés et publics. Nous ne reviendrons pas sur la manie des classements manichéens entre bons et mauvais dont nous avons déjà dénoncé l’absurdité.

Le marché des classements des lycées étant déjà occupé par ces grands magazines d’opinions que sont l’Express, le Nouvel Observateur ou le Point, cette société est allée s’installer sur un secteur non encore couvert : les collèges. Comme quoi, les mauvaises idées ont la vie dure. Le seul inconvénient de ce choix, c’est que le taux de réussite au brevet des collèges n’est pas un indicateur pertinent pour hiérarchiser les collèges puisqu’il est plutôt élevé partout. D’aucuns en profiteraient pour dénoncer un diplôme bradé. Quelle trouvaille géniale ont donc sorti de leur chapeau les spécialistes en marketing de ladite société ? Ils ont choisi comme indicateur le nombre de mentions (pour mémoire, une « innovation » signée De Robin en 2006) dont il est permis de douter du sens dans un diplôme parfaitement inutile puisqu’il n’empêche pas, heureusement, la poursuite d’études et qu’il est plutôt bancal.

En effet, si l’on passe outre les arguments mystiques sur le rite de passage, le symbole ou l’âge d’or du certificat d’études (sujets que nous avons abordé dans le billet intitulé « Le syndrome de l’île de Pâques »), on peut essayer de regarder un peu plus en détail ce qu’est le DNB. C’est un diplôme un peu bâtard pour lequel seules trois disciplines ont une place d’honneur avec leur épreuve terminale, les autres sont prises en compte à travers le contrôle continu alors que l’histoire des arts a été ajoutée en 2010 et que la note de vie scolaire a été supprimée en 2014 après 8 ans d’existence, l’évaluation du niveau A2 dans une langue vivante est requise et la validation du palier 3 du socle commun est nécessaire à la délivrance du diplôme. Le DNB, c’est un peu une version hallucinée de la Sagrada Familia, un work in progress ouvert aux quatre vents auquel tel ou tel ministre ou tel ou tel lobby ajoute sa touche personnelle. Gaudi lui au moins avait une vision.

Le Sgen-CFDT ne se voile pas la face sur les défauts de ce diplôme, défauts qui sont aussi la conséquence de l’abandon dans lequel verse le collège. Si un certain nombre de changements nécessaires ont été amorcés au niveau de l’école primaire, il est plus qu’urgent de réinventer le collège unique et d’interroger nos diplômes-monuments nationaux car ce sont bien eux, placés en bout de ligne de la scolarité obligatoire et de la scolarité secondaire qui déterminent le fonctionnement et l’organisation des années qui précédent. Ainsi, point de parcours déterminé par les élèves eux-mêmes mais une ligne droite avec un terminus connu, plutôt qu’un point de passage (en particulier pour le bac).

Il faut ouvrir le débat sur l’existence de ces diplômes indépendamment des oukases des syndicats pseudo-révolutionnaires et crypto-conservateurs. Car, enfin, les mêmes qui dénoncent une logique capitaliste à l’œuvre dans le socle commun sont aussi les ardents défenseurs du brevet et du bac nationaux, diplômes créateurs d’une ultra-compétitivité entre élèves et entre établissements en plus d’être des outils de sélection socio-économique au détriment des classes défavorisées.

Mutation 2015 : accès au guide

Guide Mutation 2015 - Premier et Second Degré

PUBLIÉ LE 13/11/2014 À 15H31par webmaster
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Les notes de service pour le mouvement 2015 sont parues le 13 novembre. Les serveurs ministériels seront ouverts du jeudi 20.11.2014 (12 heures) au mardi 09.12.2014 (12 heures, heure de Paris).
Le guide est à feuilleter ou à télécharger, en deux parties : Premier Degré, Second Degré.
La mutation ne s'improvise pas car le mouvement est assez complexe et pour ne pas commettre d'erreurs vous pouvez solliciter les syndicats Sgen-CFDT académiques (coordonnées) ou trouver des conseils en ligne ICI pour le second degré, ICI pour le premier degré.
Afin d'assurer le suivi de votre dossier vous pouvez ouvrir un compte sur Sgen+ et compléter une fiche syndicale de suivi dès le 20/11/2014

LA VIE AU LYCEE : prévention des violences

Enquête de victimation en lycée

PUBLIÉ LE 12/11/2014 À 13H16par Mehdi El Herech et Julien Duruisseau
Malgré les fréquents changements de ministres, certains sujets sont traités avec méthode et continuité. Ainsi en est-il de la problématique du climat scolaire.
Une délégation ministérielle en charge de la prévention des violences en milieu scolaire a été mise en place dès l'arrivée de Vincent Peillon rue de Grenelle. Ses travaux sont conduits par Éric Debarbieux, éminent spécialiste de la violence en milieu scolaire. Le Sgen-CFDT a pu apporter plusieurs fois sa contribution aux travaux de la délégation qui a produit entre autre des guides climat scolaire pour l'école, le collège et le lycée.
Après deux éditions de l'enquête de victimation en collège (lire la note d'information de l'enquête 2013), la DEPP travaille sur une enquête similaire en lycée. L'enquête a vocation à balayer tous les sujets potentiels de violence à l'encontre des élèves : violence institutionnelle ou entre pairs allant de la moquerie à l'agression armée en passant par les insultes ou les humiliations sur les réseaux sociaux.
Le Sgen-CFDT voit d'un bon œil ce type d'enquêtes qui n'ont pas pour but de dresser un tableau noir et sanglant de nos établissements ou un dénigrement des collègues mais bien de prendre en compte le milieu scolaire dans lequel évoluent nos élèves dans toutes ses dimensions. A travers les évaluations et statistiques nationales ou internationales, nous ne manquons pas d'éléments de discussion sur les aspects purement scolaires. Mais si ceux-ci sont centraux dans la vie de l'élève, ce dernier est aussi et avant tout un jeune en construction dans un milieu hostile : difficultés de l'adolescence, pression économique, contraintes sociétales.
Le Sgen-CFDT est intervenu en particulier sur la distinction à opérer entre punition et sanction.
Le Sgen-CFDT a souligné l'importance de mettre le ressenti de l'élève au cœur de l'enquête en particulier en ce qui concerne la violence institutionnelle. Il ne s'agit pas de stigmatiser les collègues mais de reconnaître et d'accepter que le système dans lequel nous évoluons, personnels, élèves, familles, est créateur de violence indépendamment de la bonne volonté ou de la bienveillance de chacun.
Le Sgen-CFDT a fait introduire dans le questionnaire la notion de territoire. En effet, symptôme ou conséquence de la crise économique, de la perte de repères, de l'éclatement des noyaux familiaux, les élèves ont parfois tendance à se regrouper dans les établissements selon une logique territoriale voire micro-territoriale (la ville, le quartier, la rue, l'immeuble). Cette tendance peut provoquer la balkanisation des établissements et des situations difficiles pour les jeunes qui n'entreraient pas dans une des cases.
Le Sgen-CFDT a enfin suggéré qu'une restitution soit faite aux lycéens eux-mêmes à travers les instances de démocratie lycéenne, notamment au niveau du CNVL. En effet, l'enquête de victimation a un intérêt scientifique et statistique mais doit aussi permettre une prise de conscience par les principaux concernés. En engageant une instance telle que le CNVL dans la démarche, c'est aussi un moyen de contribuer à vivifier la démocratie lycéenne qui n'est pas qu'affaire de mots mais se trouve au cœur des solutions pouvant permettre de rendre le système École plus compréhensible à ceux qui y passent l'essentiel de leur jeunesse.

ENSEIGNEMENT SUPERIEUR / PROMESSES DE DOTATIONS DEMENTIES

BUDGET ESR : DES ANNULATIONS DE CRÉDITS INACCEPTABLES

PUBLIÉ LE 12/11/2014 À 16H29par attaché de presse

CP n° 13 du 12 novembre 2014

Pour le Sgen-CFDT, deuxième organisation dans l'enseignement supérieur et de la recherche, l'annonce d'une ponction de 50 millions d'euros sur le budget 2014 de l'ESR est inacceptable.Comment construire une politique ESR ambitieuse, pluriannuelle, si même les promesses de dotation annuelle sont démenties en cours d'exercice ? Nous appelons l'ensemble des organisations syndicales à réagir dans l'unité pour mobiliser les personnels.
Cette décision va gravement pénaliser les établissements qui, dans le cadre d'un budget déjà contraint et des charges de plus en plus lourdes, ont mis en place des mesures d'économie qui impactent lourdement les formations et les projets de recherche mais aussi le recrutement de personnels. Ainsi, le plan de création de 1000 emplois par an est largement utilisé par les établissements comme variable d'ajustement pour baisser les déficits.
Pour les étudiants, ces économies ont des conséquences sur la démocratisation de la réussite, les plus affectés sont, comme toujours, ceux qui sont le plus en difficulté. Le Sgen-CFDT rappelle qu'un rapport de la DEPP prévoit à l'horizon 2020 une augmentation du nombre d'étudiants de 200 000 dont 120 000 pour le LMD. L'impact de cette augmentation se fait déjà sentir dans les universités sans qu'il n'y ait eu pour autant compensation de l'Etat.
Pour les personnels, cela se traduit par une dégradation constante des conditions de travail. Ainsi, selon une enquête menée par le Sgen-CFDT en 2014 auprès de 13 000 agents de l'enseignement supérieur et de la recherche, 52% jugent leur niveau de stress important à très important. 
La situation économique en général et, en particulier, celle de l'emploi nécessite pourtant une politique ambitieuse dans le domaine de la recherche, créatrice de croissance, et de la formation qui favorise l'insertion professionnelle. L'éducation, la formation et la recherche ne doivent pas être considérées comme des dépenses mais comme investissement sur l'avenir.
Pour le Sgen-CFDT, la décision de Bercy, validée en conseil des ministres, est une très mauvaise décision. C'est pourquoi, nous appelons les organisations syndicales de personnels et d'étudiants à construire ensemble la réponse à apporter.

COP/CIO/DCIO POURQUOI VOTER SGEN CFDT

SGEN CFDT
 De «COP» à
«Psychologue de l’Éducation Nationale»
                                         oui,  MAIS
-                    Sans devenir exclusivement experts en élèves en difficulté, prestataires en tests et bilans psychométriques.
-                    Avec le maintien du «conseil en orientation» au cœur de notre métier de manière explicite dans l’intitulé de la formation et dans nos pratiques.
-                    Avec le maintien de l’accueil et du conseil à tous les publics dans le cadre de l’Orientation Tout au Long de la Vie.
Pour le SGEN-CFDT, la création d’un corps unique de psychologues de l’Éducation Nationale ne doit en aucun cas conduire à un appauvrissement du métier et au changement d'appellation!
http://www.electionseducation2014.com

       De «COP»  à   «Psychologue de l’Éducation Nationale»
                                   oui,  MAIS
-                    Avec une affectation en CIO qui garantisse neutralité de l’information et du conseil en orientation.
-                    Avec le maintien de la diversité de nos missions et de l’ensemble des publics dans le cadre de l’Orientation Tout  au Long de la Vie.
-                    Avec le maintien d’un réseau de CIO de proximité, dont le statut est modifié à la hauteur de ses missions, dont le financement est garanti et dont la place au sein du SPRO est renforcée.
Pour le SGEN-CFDT, la création d’un corps unique de psychologues de l’Éducation Nationale ne doit en aucun cas conduire à un isolement.                                           Le Sgen-CFDT refuse l’affectation des COP en EPLE!
http://www.electionseducation2014.com
         De «COP» à
«Psychologue de l’Éducation Nationale»
oui,  MAIS
-                    Avec une augmentation du nombre de postes aux concours
-                    Avec une formation modulée et aménagée en fonction de l’expérience préalable
-                    Avec une bonification favorisant le retour dans l’académie d’origine pour les contractuels lauréats des concours
-                    Avec de réels modules d’accompagnement dans le métier pour les contractuels recrutés en académie
Pour le SGEN-CFDT, la création d’un corps unique de psychologues de l’Éducation Nationale ne doit en aucun cas conduire à une baisse de qualité de la formation.
http://www.electionseducation2014.com

                       
De «COP» à «Psychologue de l’Éducation Nationale»
                                  oui,  MAIS
-                    Avec deux échelons supplémentaires pour tous  ou à défaut la hors-classe et un nouveau statut pour les directeurs de CIO qui prennent en compte l'évolution de leur missions.
-                    Avec le maintien des financements publics tant pour les CIO que pour les DRONISEP, garantissant l’indépendance et la neutralité de l’information.
Pour le SGEN-CFDT, la création d’un corps unique de psychologues de l’Éducation Nationale ne doit en aucun cas conduire à la création d’un corps «au rabais» et une nouvelle fois discriminé.
http://www.electionseducation2014.com

POURQUOI VOTER SGEN CFDT

SGEN CFDT 
CFDT EDUCATION MARTINIQUE

Pourquoi voter pour le SGEN-CFDT ?

· Pour obtenir des résultats pour vos conditions de travail et vos rémunérations !
  Notre rôle est d'obtenir des résultats, au lieu d'afficher une posture idéologique, certes
confortable, mais stérile pour vous ! La CFDT privilégie le dialogue social et la négociation, parce qu’elle sait s’en servir pour obtenir, avec vous, des résultats concrets.

· Pour oser bousculer les conservatismes, pour changer l'école
  La CFDT est souvent critiquée parce qu’elle a le courage de faire des  propositions. Il faut discuter, se battre pour obtenir : l'amélioration des rémunérations, la reconnaissance du
travail invisible, l'autonomie des équipes, une formation digne de ce nom, une école plus juste, moins reproductrice des inégalités  sociales.

· Pour vous permettre d'être représenté à tous les niveaux !
  La CFDT, forte de ses 860 000 adhérents, est représentative à tous les échelons de la
fonction publique ce qui lui permet d'être écoutée et cohérente dans les négociations.
La CFDT syndique toutes les catégories de personnels et les défend solidairement.
Elle refuse le chacun pour soi : pour ne pas délaisser certaines catégories de personnels et pour être plus efficace, parce qu’il y a un intérêt commun entre tous les membres d’un même collectif de travail.

· Pour faire le choix de la proximité !
  Les équipes du Sgen-CFDT sont à votre écoute pour porter au mieux votre parole. C’est pour cela que nous organisons régulièrement des enquêtes (enquête 1er degré, enquête BIATSS) que nous allons à votre rencontre.  C’est par la proximité avec vous que nous construisons notre action syndicale.

· Pour affirmer votre indépendance !
  L’indépendance à l’égard des partis politiques est une exigence de la CFDT. Elle refuse
toujours de donner un sens partisan à ses actions et revendications. La CFDT est aussi
indépendante financièrement. Les 860 000 adhérents de la CFDT lui assurent plus de 80% de ses recettes.  C’est ce qui lui garantit sa  liberté de réflexion et de décision.